Musée de la Guitare ‘‘Antonio de Torres’’

Qu’est-ce qui constitue le Musée de la Guitare?

Le Musée de la Guitare Espagnole ‘Antonio de Torres’ est bien plus qu’un espace muséographique, un centre d’exposition et informatif qui permet aux visiteurs de connaitre de façon agréable et simple, les clés principales d’un des instruments musicaux les plus populaires du monde entier, comme la guitare.

L‘instrument le plus interprété et fabriqué de l’histoire mondiale de la musique nous est présenté par son plus grand précurseur, le luthier Antonio de Torres, considéré le père de guitare contemporaine.

C’est pour cela, qu’entre les objectifs du présent projet du département de Culture de la Mairie d’Almeria, en tant que principale championne, se trouve le projet de faire participer activement les visiteurs au musée et, par extension, à la vie culturelle de la ville d’Almeria.

Le Musée offre aux participants beaucoup plus qu’une simple succession de pièces, c’est un espace culturel surprenant, important, didactique, interactif et attractif, ouvert à tout le public et visiteurs.


Exposición fotográfica en el interior de los aljibes

Citernes Arabes

À l’époque musulmane, Almeria, ne possédait pas un réseau d’alimentation en eau aux immeubles, et il était donc nécessaire de construire des abreuvoirs et des fontaines. Nous connaissons le système d’alimentation en eau d’Almeria fondamentalement grâce à al-Himyari et al-Udri. Selon al-Himyari, ce fut Jairán qui durant règne (1012-1028) fit construire la conduite d’eau, alors que selon al-Udri, ce fut du temps de son successeur Zuhayr (1028-1038). Quoi qu’il en soit, et traditionnellement, elles sont connues sous le nom de Citernes de Jairán.

Ce qui est vrai, c’est qu’une conduite d’eau fut réalisée depuis les fontaines de la zona d’Alhadra jusqu’à la partie la plus haute de la ville, la Porte de Pechina (actuelle Porte de Purchena), et que des citernes à usage public furent construites au XIème siècle, c’est-à-dire à l’époque Taifa.

De ces citernes, qui se trouvent actuellement dans rue Tenor Iribarne, il ne reste plus que trois entrepôts inter communiqués, de 15 x 3,5 m de superficie, construits en briques solides et avec des voutes en berceau.

Le volume d’eau stockée était de 630.000 litres, c’est-à-dire une quantité suffisante pour alimenter la ville, même en cas de siège long, car il y avait, en outre, des puits pour norias et des canaux d’irrigation.