Museo de la Vega

Ecomusée de la Vega d'Almeria

Le centre muséal comprend trois salles principales : « El Cortijo, un mode de vie », « La Vega, un mode de travail » et « El territorio del Bajo Andarax ».
Dans ces salles, le visiteur pourra voir des effets personnels, des objets, des ustensiles, des charrettes, des photographies et même des vêtements de l'époque. Un large éventail d'objets qui proviennent, dans de nombreux cas, de familles qui ont consacré leur vie et leur travail à la campagne almérienne.
Les visiteurs du musée pourront remonter le temps jusqu'au mode de vie de la campagne d'Almeria au début du XXe siècle, grâce à des reconstitutions de dépendances et à des maquettes de bâtiments traditionnels.
Le tout de manière pédagogique et interactive pour tous les publics. Le musée dispose également de salles polyvalentes et d'espaces d'exposition.


Centre d’Interprétation Patrimoniale

Ce Centre d’Interprétation Patrimoniale C.I.P. d’Almeria est situé sur la Place Vieja ou Place de la Constitución.

L’entrée au musée est gratuite et son contenu permet de connaitre et apprécier l’histoire de la ville d’Almeria. Placé en plein Centre Historique, il comprend un rez-de-chaussée informatif, et trois étages spécialisés, respectivement, dans le domaine de l’Almeria Musulmane ; l’Almeria Chrétienne et la Contemporaine, l’Almeria de nos jours.

Le parcours est interactif et le visiteur est accompagné par les personnages, monuments et évènements principaux qui sont intervenus à chaque étape historique. Les faits fondamentaux sont expliqués pour permettre de comprendre ce qui est arrivé à chacun de ces moments historiques, comment ils ont affecté l’évolution de la ville et comment ils influencent la culture actuelle.

Parallèlement, pour chacune des époques, une ‘Ligne du Temps’, a été dessinée pour permettre la comparaison entre les principales étapes de l’histoire d’Almeria, de l’Espagne et du monde.

En outre, sur sa terrasse supérieure, se trouve un belvédère d’où l’on peut jouir de vues grandioses sur la Place Vieja, le Port d’Almeria et l’impressionnante Alcazaba de la ville.


Musée de la Guitare ‘‘Antonio de Torres’’

Qu’est-ce qui constitue le Musée de la Guitare?

Le Musée de la Guitare Espagnole ‘Antonio de Torres’ est bien plus qu’un espace muséographique, un centre d’exposition et informatif qui permet aux visiteurs de connaitre de façon agréable et simple, les clés principales d’un des instruments musicaux les plus populaires du monde entier, comme la guitare.

L‘instrument le plus interprété et fabriqué de l’histoire mondiale de la musique nous est présenté par son plus grand précurseur, le luthier Antonio de Torres, considéré le père de guitare contemporaine.

C’est pour cela, qu’entre les objectifs du présent projet du département de Culture de la Mairie d’Almeria, en tant que principale championne, se trouve le projet de faire participer activement les visiteurs au musée et, par extension, à la vie culturelle de la ville d’Almeria.

Le Musée offre aux participants beaucoup plus qu’une simple succession de pièces, c’est un espace culturel surprenant, important, didactique, interactif et attractif, ouvert à tout le public et visiteurs.


Musée d’Art Doña Pakyta

Dans la décennie de 1980, doña Francisca Díaz Torres –populairement connue sous ne nom de Doña Pakyta – décida donner à la Mairie d’Almeria, la demeure qui lui avait appartenu durant de nombreuses années, pour que, après son décès, elle devienne un centre culturel et un espace d’exposition permanent. C’est une maison à esthétique singulièrement septentrionale, construite en 1928 par l’architecte Guillermo Langle sur commande de M. Antonio González Egea, et connue des habitants d’Almeria comme la ‘Maison Basque’.

En mai 2014, la maison, située au bout de la Promenade, vint grossir le patrimoine municipal, et les travaux d’adaptation de son rez-de-chaussée et premier étage furent commencés afin qu’ils exercent leur nouvelle fonction : servir de siège au premier Musée d’Art d’Almeria. Un nouvel équipement culturel auquel, grâce à la somme de synergies entre le Conseil municipal et la Fondation d’Art Ibáñez Cosentino, le visiteur pourra jouir d’un grand panorama sur l’art d’Almeria, depuis la décennie de 1880 jusqu’à celle de 1970.


Entrada nacimiento arqueológico Barrio Andalusí

Yacimiento arqueológico Barrio andalusí

Un poco de historia
En el año 2008 surge un proyecto para la regeneración del Casco Histórico de Almería llamado “Proyecto Urban” dentro del cual se tenían previstas una serie de actuaciones en la adecuación y equipamiento de las Cuevas del antiguo Mesón Gitano (ya derruido en los años 80), así como una serie de obras de regeneración del entorno de la Alcazaba. Entre estas actuaciones estaba la construcción de un nuevo centro vecinal para darle servicios al barrio, junto con la prolongación de la calle Fernández, creando un nuevo vial que conectase la Alcazaba con el barrio de Pescadería y la Chanca.
Pero en el año 2014, los trabajos de arqueología previos a las obras de remodelación sacaron a la luz un gran descubrimiento para la ciudad de Almería. Bajo los restos del antiguo hotel del Mesón Gitano y cubierto por varias toneladas de tierra, se descubrió una serie de casas que tenían buen estado arqueológico, tomándose la decisión de mantener el yacimiento para disfrute de los ciudadanos. Así empezó el proyecto del hoy terminado Yacimiento arqueológico Barrio andalusí.

Exposiciones fijas:
Yacimiento arqueológico barrio medieval del S.XI - XIII
Colección de piezas arqueológicas sobre la vida cotidiana del yacimiento arqueológico y el llamado “tesorillo” 33 monedas de oro de época almorávide propiedad del Ayuntamiento de Almería.
Exposición fotográfica de Carlos de Paz con fotografías realizadas durante la excavación arqueológica del año 2014

Descargar tríptico informativo

 

Descargar la APP de Realidad Aumentada

Realidad Aumentada Play Store Realidad Aumentada Apple  Mesón Gitano Realidad Aumentada    Barrio Andalusí Realidad Aumentada

 


Centre d’Art Musée d’Almeria

L’ensemble, qui fut l’ancien Préventorium de l’Enfant Jésus, était constitué par deux bâtiments différents : la demeure- maison individuelle de José Batlles, construite en 1927 et reformée en 1943, et les galeries et dépendances rajoutées en 1944 par le Patronat National Antituberculeux, qui étendirent la demeure jusqu’à la limite de l’Avenue de Ntra. Sra. de Montserrat. Les galeries, ouvertes au jardin, contenaient au rez-de-chaussée, la chambre à coucher des garçons et, en-haut, celle des filles. Ce bâtiment qui fut durant un certain temps une partie du préventorium, était occupé par la direction, l’administration et la clinique de l’ensemble dédié aux soins. Le bâtiment fut fermé en 1966.

De l’ensemble, il ne reste plus que la maison de José Batlles, et elle est encadrée dans la tradition régionaliste, réalisée par Guillermo Langle Rubio. Une annexe lui fut rajouté pour abriter le Centre d’Art Musée d’Almeria, qui dépend du département de la culture de la Mairie d’Almeria, et qui fut inauguré en octobre 1998.

BÂTIMENT ACCESSIBLE AUX PERSONNES HANDICAPÉES


Museo del Realismo Español Contemporáneo

Musée du réalisme espagnol contemporain (MuReC)

Projet né de la somme des synergies qui, depuis 2012, unissent la Diputación de Almería et la Fundación de Arte Ibáñez Cosentino dans l'engagement des deux institutions en faveur de l'Art et de la Culture, et de la relation étroite qui, depuis plus de deux décennies, unit les artistes réalistes Antonio López García (Tomelloso (Ciudad Real), 1936) et Andrés García Ibáñez (Olula del Río (Almería), 1971), le Museo del Realismo Español Contemporáneo [MUREC] d'Almería a ouvert ses portes le 15 mars 2024.

Situé dans l'ancien hôpital royal de Santa María Magdalena, un bâtiment restauré et réaménagé par la Diputación de Almería, le MUREC abrite une collection permanente de 271 œuvres d'art créées entre 1890 et 2023 par 134 artistes espagnols. La collection, créée par la Fondation Ibáñez Cosentino Art expressément pour ce nouvel espace culturel public, est unique et exceptionnelle tant par son discours - le réalisme comme fil conducteur - que par les artistes représentés.

Réparti sur deux étages, le MUREC compte 11 salles dans lesquelles est exposée la collection permanente du musée. Une collection, répartie selon des critères chronologiques, qui permettra au visiteur de découvrir le parcours du réalisme en tant qu'option esthétique et concept artistique sur plus d'un siècle d'histoire.

Les six premières salles du musée sont situées au rez-de-chaussée. Outre la présentation, en guise de préambule, du MUREC et l'explication de sa localisation à Almería, c'est ici que commence un voyage à travers l'évolution du réalisme espagnol, de la fin du XIXe siècle au début des années 1950. Un parcours dans lequel la présence d'artistes tels que Sorolla, Beruete, Pinazo, Ramón Casas, Rusiñol, Mir, Gonzalo Bilbao, Benedito, Zuloaga, Mariano Benlliure, López Mezquita, Antonio Fillol, Romero de Torres, Julio Antonio, Mateo Inurria, Morcillo, Capuz, Gustavo de Maeztu, Zubiaurre, Solana, Ramón Gaya, Cristóbal Ruiz, Sunyer, Vázquez Díaz, Rosario de Velasco, Juan Cristóbal, Romero Ressendi, Eduardo Vicente, García Donaire, Xavier Valls, Campillo, Marisa Pinazo et Mallol Suazo, entre autres.
Le premier étage du bâtiment abrite 5 salles dans lesquelles se poursuit le discours du musée, des années 1950 à nos jours. Plus de sept décennies d'art réaliste à travers les œuvres, entre autres, d'Antonio López Torres, Félix Alonso, Carmen Laffont, María Moreno, Esperanza Parada, Isabel Quintanilla, Amalia Avia, Francisco López, Julio López, Antonio López, Matías Quetglas, Antonio Maya, José María Mezquita Gullón, Juan José Aquerreta, José María Cuasante, Félix de la Concha, Jesús Ibáñez, Clara Gangutia, Roberto González, Golucho, Ignacio Mayayo, Andrés García Ibáñez, Joseba Sánchez Zabaleta, Cristina Megía, Eduardo Millán, Pepe Baena, Francisco Lafarga et Noé Serrano.


Enclave Arqueológico Puerta de Almería

Site archéologique de la Puerta de Almería

L'Enclave archéologique Puerta de Almería, inaugurée en 2006, est un centre qui intègre une partie de la muraille côtière du Xe siècle appartenant au noyau de la Médina et à la période califale et intègre une partie de la porte qui avait ce tronçon de muraille : la Puerta del Puerto. Une petite usine de poisson salé datant de la période romaine est également conservée dans ce centre.

Des panneaux, des audiovisuels, des photographies illustratives et des plans détaillent l'origine de la ville d'Almería (Almariyya), lorsqu'elle était d'abord Almariyyat-Bayana, le quartier maritime de Pechina (Bayyana) et Pechina était la Cora administrative.

À l'angle de la Calle de la Reina et du Parque Nicolás Salmerón se trouve le centre d'interprétation de la Puerta de Almería, qui abrite les vestiges de la muraille califale datant de la fondation d'Almería au Xe siècle, ainsi qu'une usine romaine de poisson salé.

Plus d'informations sur l'Enclave Arqueológico Puerta de Almería ici.


Centre Andalou de la Photographie (C.A.F.)

Le Centre andalou de la photographie, qui appartient au département de la culture du gouvernement régional d'Andalousie, a été créé en 1992 pour être le dépositaire des collections photographiques du projet Imagina et, parallèlement, pour poursuivre le travail de promotion et de diffusion de la photographie au niveau national et international.

Le Centre andalou de la photographie propose une offre institutionnelle permanente pour aborder la photographie dans une perspective interdisciplinaire où le traitement et l'étude de l'image à partir de différentes approches peuvent être accueillis.

En octobre 2007, le nouveau siège du Centre andalou de la photographie a été inauguré dans l'ancien Liceo de Almería, situé dans le centre historique de la ville. Ce bâtiment a été rénové et adapté aux besoins d'un centre photographique du XXIe siècle, qui comprend un grand espace d'exposition de six cents mètres carrés, des salles de cours pour les ateliers, une salle de numérisation, un plateau photographique, une bibliothèque, une salle de projection, des archives, une boutique et des bureaux administratifs.

BÂTIMENT ACCESSIBLE AUX PERSONNES HANDICAPÉES

Découvrez plus d'informations sur le Centre andalou de la photographie.


Les Refuges de la Guerre Civile

Ils sont composés par des galeries souterraines conçues par l’architecte Guillermo Langle Rubio, à 9 m. de profondeur, pour sauver des vies humaines lors des bombardements de la ville durant la Guerre Civile Espagnole. Des 4,5 km conçus par l’architecte, environ 1 km ont été récupérés, et ils coïncident avec l’artère principale : la Promenade d’Almeria.

Ils ont l’attrait des espaces recréés : magasin-entrepôt, refuge Guillermo Langle et la salle d’opérations, avec tous les instruments de l’époque. Les refuges ont été conçus en 1936, mais leur construction n’a commencé qu’en février 1937 et a terminé en 1938.

La construction, réhabilitée par la Mairie d’Almeria, est devenue actuellement un des refuges ouverts au public les plus grands d’Europe.

Histoire des refuges.

Almería: 52 bombardements, 754 bombes

La Guerre Civile Espagnole (1936-1939) marqua profondément l’histoire de tout le pays et en dépit du fait qu’Almeria ne vécut pas directement la guerre (elle fut la dernière ville du gouvernement de la II République), la ville souffrit les effets des attaques aériennes et provenant de la mer : 52 bombardements sur des objectifs militaires, stratégiques et aussi civils.

De tous les bombardements, celui du 31 mai 1937, réalisé par une formation allemande, fut le plus marquant et laissa un bilan de 40 morts, 150 blessés et quelques 200 bâtiments détruits.

C’est dans ce contexte de guerre, que les citoyens d’Almeria décidèrent d’entreprendre la construction de refuges souterrains et de collaborer activement à leur exécution pour se protéger des bombes en cas d’alarme.

Almeria devint un authentique “Guernica”, mais, lamentablement, sans aucun type de reconnaissance historique ou politique postérieure.

Un espace pour la vie

D’octobre 1936 jusqu’au printemps de 1938, l’architecte municipal Guillermo Langle, l’ingénieur de génie civil José Fornieles et l’ingénieur des mines Carlos Fernández dirigèrent la construction des 4,5 kms de galeries souterraines à 9 mètres de profondeur avec 67 accès, pour abriter 34.144 personnes (à l’époque la population d’Almeria était d’environ 50.000 personnes). Le reste d’Almeria se réfugiait dans les refuges naturels des dépôts de Minerai de Fer de la Compagnie Andalouse des Mines et dans les grottes de La Chanca.

Langle pensa à tout. La ventilation se faisait au travers de tubes en ferrociment de 100 millimètres de diamètre situés près des entrées et capables de résister le lancement de grenades à main ; les creux et les saillants disposés pour éviter des avalanches et, en outre, pour servir d’écran en cas d’explosion de grenades ; deux fils de cuivre pour alimenter les ampoules qui éclairaient les refuges ; un dépôt pour aliments, pour accumuler des vivres en cas de besoin ; et même l’installation d’une salle d’opérations pour les blessés.

Après la guerre, les entrées aux refuges furent bloquées par une série de kiosques rationalistes conçus par Guillermo Langle, qui firent alors partie du mobilier urbain de la ville. Aujourd’hui encore, nous pouvons contempler certains d’entre eux sur la Place Urrutia, la Place Conde Ofalia et la Place Virgen del Mar, quoique ce dernier ait été très remodelé.
Les refuges ne furent plus jamais utilisés, mais les galeries ont continué sans vie, traversant, comme une épine dorsale, toute la ville d’Almeria.

MONUMENT ACCESSIBLE AUX PERSONNES HANDICAPÉES